Rejoignez-nous pour des sorties de ski en groupe à Châteauneuf !
Saviez-vous qu’il existait des sorties de ski à Châteauneuf dans les années 1970 ?

Je vous convie à un voyage à travers le temps, sur les sentiers de Châteauneuf, à la redécouverte des croix de chemins. Ces modestes monuments, témoins silencieux du passé, invitent à une pause contemplative et à la préservation de la mémoire locale.
Oubliées par certains, ignorées par d’autres, ces croix rurales, autrefois lieux de rassemblement lors des processions et des rogations, méritent une attention renouvelée. Je propose un inventaire participatif, encourageant les Castelneuviens à devenir les gardiens de ce patrimoine. Chacun est invité à photographier les croix de son hameau, de son chemin, et à partager leurs découvertes, contribuant ainsi à un recensement exhaustif de ces symboles de foi et de traditions.
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Le Château en 1789, gravure de Jean-Jacques de Boissieu – Châteauneuf (42800) – Loire
Les premiers écrits dans lesquels apparaît le nom Châteauneuf datent des années 1220. La légende veut que la châtelaine Béatrix de Roussillon, veuve de Guillaume de Roussillon, se rende à Ste Croix en Jarez et y fasse ériger la chartreuse.
Ces photographies issues de la collection de la famille Bonnard nous plongent au cœur de la vie rurale à Châteauneuf, avant et après la Première Guerre mondiale, ainsi qu’au milieu du 20e siècle. Elles témoignent des traditions agricoles, de la vie communautaire et des figures marquantes de cette époque.
On peut voir plusieurs générations d’agriculteurs, certains tenant des outils agricoles, rassemblés devant le bâtiment en pierre caractéristique de l’architecture rurale de la région. Merci à la famille Bruyas pour les photos
Merci à Mr et Mme BRUYAS de leurs accueils
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Ces photographies capturent des vues pittoresques de Madinay, un hameau de Châteauneuf, dans les années 1990. Elles révèlent des ruelles étroites, bordées de maisons en pierre traditionnelles, typiques de l’architecture rurale.
La camionnette que l’on aperçoit est celle de Toupagel, un marchand ambulant qui, avec le boulanger et le représentant du Casino (magasin), apportait les produits essentiels aux habitants. Ces commerçants étaient un lien vital pour la communauté, permettant aux villageois d’accéder à des biens et services sans avoir à se déplacer. Ces images sont des fenêtres sur une époque où la vie à Madinay était rythmée par ces visites régulières, créant un tissu social fort et un sentiment d’entraide. Elles témoignent d’un mode de vie simple, enraciné dans les traditions, où les relations humaines et la proximité étaient des valeurs fondamentales.
Cette photographie sépia capture une scène de battage du blé au hameau de Granger à Châteauneuf. On y voit des hommes travaillant avec une batteuse, une machine agricole essentielle pour séparer les grains de blé de la paille et de l’épi. Un homme se tient sur la batteuse, supervisant l’opération, tandis qu’un autre alimente la machine en gerbes de blé. Le sol est jonché de paille, témoignant de l’activité intense.
Cette image est un témoignage de l’évolution des techniques agricoles et de la mécanisation du travail à la campagne. Elle met en évidence l’importance du battage, une étape cruciale pour obtenir le grain nécessaire à la fabrication du pain et à l’alimentation. C’est un instantané précieux d’une époque où la communauté rurale était étroitement liée aux cycles agricoles et où le travail manuel était indissociable de la vie quotidienne. La photographie capture également l’esprit d’ingéniosité et d’adaptation des agriculteurs face aux défis de la production alimentaire.
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